Quatrième de couverture

DANS LA DERNIERE CITE DU MONDE
Clarges la splendide, à la sombre beauté, ultime bastion de l'art et de la science, les hommes vivent selon un strict système de castes. Ils sont Couvée, Coin, Tiers, Seuil et enfin? Immortels. Car l'immortalité est l'achèvement absolu.
Dans Clarges, il y a Carnevalle, le lieu de tous les rêves, de toutes les folies nocturnes.
Et c'est dans Carnevalle que vint une nuit la belle Jacinthe Martin.
C'est dans Carnevalle, à la Maison de la Vie, qu'elle rencontra celui qu'elle savait être le Grayven Warlock, le monstre qui avait été jugé pour ses crimes et livré aux Assassins...

Atelier Pascal Vercken. Couverture de Georges Raimondo.

Premier plat :

JACK VANCE

Né en 1916 à San Francisco, où il réside encore aujourd'hui avec son épouse Norma et leur fils John, Jack Vance fit tardivement ses débuts dans la littérature, en 1945, à une époque où les auteurs de science-fiction étaient précoces. Après des études erratiques, passant de la physique à la géologie, il fut marin au long cours. De là, sans nul doute, ce goût de l'exotisme, du voyage pour le voyage, des rivages lointains et des cultures exotiques qui imprègne toute son oeuvre. Ecrivain prolifique, il est sans doute le plus admiré de ses pairs. Si l'on aime l'évasion, le vagabondage, le survol des contrées dignes des Mille et Une Nuits, les inventions baroques, c'est vers JACK Vance que l'on se tourne, vers ses univers emplis de goûts différents et de noms vertigineux : Tschaï, l'Essaim d'Alastor, les Mondes des Princes Démons, Koryphon, La Planète Géante...