Quatrième de couverture

LES MOTS DE LA FIN
Le verbe de l'apocalypse, la malédiction qui efface tout. Tel était le pouvoir d'Ezekiel Joshua Tubber. Chacune de ses imprécations diminuait un peu plus la civilisation. Privé de radio, puis de télévision, puis de cinéma, le monde glissait vers le naufrage final. Par la volonté absolue d'un homme pas comme les autres. Mais fallait-il vraiment sauver le monde ??

Atelier Pascal Vercken. Couverture de Philip Caza.

Premier plat :

MACK REYNOLDS

Né en 1918, cet auteur américain fit ses débuts en 1951. Il collabora quelque temps avec Fredric Brown et le public français le découvrit avec la parution de "Sombre interlude", variation cruelle sur le voyage dans le temps et le racisme. Mack Reynolds est un des écrivains les plus féconds de la science-fiction contemporaine. Ses romans, au nombre d'une trentaine, sont fréquemment marqués par des préoccupations politiques à moyen terme sur l'avenir des rapports est-ouest, le développement de l'Afrique, la mise en place de l'informatique, etc... Grand voyageur et amateur d'art pré-colombien, Reynolds réside principalement au Mexique.